“ « On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver. » ”

001. PRÉNOM(S) Melisande Cassandra. Ҩ 002. NOM(S) Pierce. Ҩ 003. ÂGE 24 ans. Ҩ 004. NATIONALITÉ Américaine Ҩ 005. DATE DE NAISSANCE 8 décembre Ҩ 006. LIEU DE NAISSANCE Louisville, Kentucky. Ҩ 007. EMPLOI Intérimaire. Ҩ 008. STATUT SOCIAL Compliqué. Ҩ 009. GROUPE Exorcist. Ҩ 010. CÉLÉBRITÉ Claire Holt.

Se mordille la lèvre inférieure quand elle est nerveuse Ҩ Adore faire hurler ses frères Ҩ Touille son café en faisant des huit Ҩ Il y a toujours quelques choses en mouvement chez elle, sois elle joue avec un stylo, balance son pied au rythme de la musique. Ҩ Dors avec un polochon dans ses bras Ҩ Plisse légèrement les yeux quand elle est en colère Ҩ A tendance à utiliser le gros mot "putain" régulièrement dans une journée Ҩ Préfère être nue avec son collier, qu'habiller sans collier Ҩ A tendance à raccrocher au nez des gens lorsque la conversation l'ennuie Ҩ Donne des surnoms à tout le monde.

001. PRÉNOM Trinity Ҩ 002. PSEUDO Triny Ҩ 003. ÂGE 23 ans Ҩ 004. PAYS France Ҩ 005. PRÉSENCE 5/7j Ҩ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR Bazzart Ҩ 007. CE QUE J'EN PENSE j'adore, le design est très beau et le contexte très bien écrit Ҩ 008. RÉSERVATION AVATAR oui ) Ҩ 009. CODE song of death Ҩ 010. CRÉDITS tumblr. Ҩ 011. DERNIER MOT je vous aimes

the time of my life

Parfois j’imagine que tout ce que je vie n’est en faites qu’un rêve, un mauvais rêve. Comme lorsque que vous regarder un film d’horreur et que vous avez l’impression une fois toutes les lumières éteintes que c’est à vous que cela va arriver. Mais je suis réaliste, ma vie et ce qu’elle et mon avenir est tracé et pourtant je me demande si c’était ce que le destin avait choisit pour la famille Pierce.

Cette nuit là, ce sont les mains de Caleb, l’aîné de la famille qui me réveilla sans la moindre douceur, il me secouait vivement le bras, je gardai les yeux fermement clos en espérant qu’il partirait pour aller embêtait Nolan mon autre frère, mais il insista :

Caleb : Mel réveille toi vite !

J’ouvris les yeux et découvrit mes deux frères le visage paniquait et là seulement je sentis une odeur de brûlée, pourtant maman, ne faisait jamais rien brûler c’était à mes yeux la meilleure cuisinière au monde. Caleb ne me laissa pas le temps de réfléchir plus à la situation, il me tira par le bras et mit ma robe de chambre sur mes épaules.

Caleb : Il faut sortir vite ! Nolan reste derrière Mel, moi je passe devant.

Nolan fit signe oui de la tête, Caleb était âgé 7 ans, il état le plus vieux de la famille et les plus jeune savait qu’ils devaient obéir à leur aîné, Nolan avait 5 ans, il faisait donc office de second et moi je n’avais que 3 ans et j’étais donc celle qui devait obéir et qui n’avait pas mon mot à dire. Mais ce n’était pas ce qui m’empêchait de parler !

Melisande : Où sont papa et maman ? Qu’est ce qu’il y a ?

Les larmes commençaient à m’aveugler tandis que nous avancions dans le couloir de plus en plus enfumé. Aucun de mes frères ne se donna la peine de répondre, alors je fis ce que je faisais toujours lorsque je n’obtenais pas de l’un de mes aînés ce que je voulais un caprice ! A la grande surprise de Caleb et Nolan, je me laissai tomber par terre et me mit à pleurer à chaude larmes. Boudeuse j’examinais le visage de mes frères, celui de Nolan transpirait l’inquiétude, il regardait en direction de la chambre de mes parents, en faites sa tête regardait partout et nulle part à la fois. Par contre le visage de Caleb lui débordait d’impatience comme toujours :

Caleb : Ne joue pas le bébé Mel, papa et maman vont arriver.
Nolan : Mel à raison, on devrait aller chercher papa !
Caleb : Non, papa m’a dit de vous faire sortir, alors on sort !

Le ton de Caleb était sans appel, mais j’avais peur et je sentais bien que eux aussi avait peur, même si tout deux essayait de me le cacher. Caleb me souleva et nous continuons d’avancer en direction des escaliers que nous descendions prudemment, la fumée ce fit plus dense et je me mis à tousser, il faisait trop chaud et je ne me sentais pas bien. Je tirai sur le bras de Caleb qui se retourna sur moi, prêt à me gronder pensant que je refusais d’avancer. Mais en voyant mon visage il ne dit rien, nous étions en bas des escaliers et allions bientôt atteindre la porte, mais moi je ne pouvais plus avancer, je regardai la cuisine et découvrit ce qui à mes yeux ressemblait à l’enfer. Nolan avait l’air épouvanté en regardant dans la même direction que moi. Caleb me souleva de terre et tira le bras de Nolan, nous dirigeant vers la porte d’entrée pour le moment accessible. Nous étions dehors, Caleb et moi regarda en direction de la maison qui était en flamme et c’est à ce moment là que nous avons put voir Nolan retournait dans la maison.

Caleb : Quel idiot ! Je vais le chercher !
Melisande : Non reste avec moi.

J’avais peur, les voisins s’approchaient de nous, je les entendais nous demander si nous allions bien, nous rassurer, nous dire que les pompiers avaient été appelés que tout se passerait bien, que nous n’avions plus de raison d’avoir peur. Mais je ne les écoutais pas, à mes yeux seul les paroles de Caleb avait de l’importance, je serrai sa main aussi fort que je le pouvais, tandis que les larmes ruisselait mon visage. Il me prit dans ses bras et murmura :

Caleb : Ne t’inquiète pas, tout va bien.

Puis je vis jaillir de la maison papa, j’étais rassuré il tenait dans ses bras Nolan, mon sourire s’effaça, je ne voyais pas maman, pourquoi ne sortait elle pas ? Où était-elle ? Mon père d’une voix dure ordonna :

Connor : Caleb surveille les bien ! Vous deux obéissaient à votre frère.

Il se précipita en direction de la maison, mais le toit s’effondra, il porta les bras de son visage et voulut y retourner les voisins l’empêchèrent de rentrer :

Voisin : C’est trop dangereux Connor !
Connor : Sarah est à l’intérieur, laisse-moi aller chercher ma femme.

Les pompiers étaient arrivé, ils essayèrent à leur tour d’entrée, mais il était trop tard, beaucoup trop tard. Papa était assis par terre et pleurer, je crois que c’était la première fois qu’il pleurer. Caleb avait l’air en colère, Nolan avait les yeux dans le vide et moi je pleurais en appelant ma mère.

Après l’incendie nous avions tout perdu, nos souvenirs, nos photos, absolument tout et surtout nous avions perdu maman. Papa nous disait souvent qu’il avait auprès de lui, ses plus précieux trésors. Nous avions emménagés dans une nouvelle petite maison, mais à mes yeux elle n’était pas ma maison. J’étais terriblement bouleverser par la mort de ma mère que j’appelais chaque nuit dans mon sommeil. Mais elle ne reviendrait pas et il fallait que je me fasse une raison. Mais j’étais une enfant et ce n’était pas facile. De plus les choses se sont un peu compliquer pour nous quatre. Je vous rassure papa n’a pas sombrer dans l’alcool ou dans la violence. Il essayait d’être le meilleur père possible pour nous trois et ce n’était pas facile tout les jours. Caleb et Nolan se disputaient souvent, je crois que quelques part au fond de lui Caleb en veut à Nolan pour la mort de maman. Et moi et bien j’étais la seule fille, j’étais adorée par mon père et par mes frères et c’est je crois ce qui a fait de moi une petite fille légèrement capricieuse et têtue. Mais c’était loin d’être notre seule problème.

Pour faire face à leurs problèmes certains enfants se font amis imaginaires et le problème c’est que dans notre famille, les amis imaginaires sont des fantômes et ça papa n’a pas aimer, même pas du tout.

Melisande : Je veux que tu me laisses tranquille, papa ne veut pas que je te parle !
Fantôme : Je veux juste que tu viennes jouer avec moi. Viens jouer…
Melisande : Si papa ou Caleb apprennent ça, ils vont être fâchés contre moi…
Fantôme : Mais non et puis tu sais qu’il ne reste pas fâchés longtemps, en tout cas pas contre toi.
Melisande : C’est vrai…
Nolan : A qui tu parles Mel ?
Melisande : Personne, je te le jure !

Nolan faisait comme si il ne les voyait pas la plupart du temps, il refusait de croire en l’existence de fantômes et il ne pouvait donc pas être en colère contre moi si j’avais un ami imaginaire. Mon amie imaginaire était une fillette d’à peu près le même âge que moi et elle voulait que l’on deviennent amies et peut être que c’était ce que je voulais aussi.

Alors quand Nolan est retourné dans sa chambre, je suis partie avec ma nouvelle amie, nous jouions dans la cours, puis elle me proposa :

Fantôme : Et si on aller au parc. Qu’est ce que tu en penses ?
Melisande : Je ne sais pas, je n’ai que 6 ans et papa ne veut pas que je sorte toute seule, Nolan ne voudra pas venir si je lui dis que tu es là et Caleb va hurler. Et puis s’ils viennent tu devras partir. Et je crois que Caleb le dira à papa et il voudra…

Depuis qu’ils avaient cette facultés de voir les fantômes, Connor c’était mis en tête de les faire disparaitre et de protéger ses enfants contre ce qu’il trouvait être des monstres. Et Caleb était du même avis que lui, Nolan les suivait et bien souvent Melisande était obliger de rester à l’arrière. Leur père les formait tout trois à devenir « des chasseurs de fantômes », mais il se montrait beaucoup plus dure et plus exigeant avec les garçons qu’avec Melisande qui ressemblait de plus en plus à la jolie Sarah.

Fantôme : Tu fais toujours ce que ton père et tes frères veulent que tu fasses !?!

En réalité, pas toujours, j’étais trop curieuse et trop têtue pour rester en arrière, mais j’avais un mauvais pressentiment et pourtant je répondis :

Melisande : D’accord, mais je dois entrer dans une heure, papa et Caleb ne vont pas tarder à revenir et si je ne suis pas à la maison quand ils rentreront ça bardera !
Fantôme : D’accord, tu verras on va s’amuser !

Et c’était vrai je me suis bien amuser, mais une heure ça passe très vite quand on s’amuse et la nuit est vite tombé. Je voulais rentrer à la maison, mais ma nouvelle amie m’avait entrainé plus loin dans le parc dans un petit bois et je commençais à avoir peur.

Melisande : Il fait presque nuit, je dois rentrer, ils doivent me chercher partout.
Fantôme : Oui, mais tu dois me trouver d’abord !
Melisande : Je ne veux pas jouer à cache-cache, je veux rentrer à la maison.
Fantôme : Mais non, Mel c’est pas un jeu, je suis là, mais personne ne m’a encore trouver.
Melisande : Je ne comprends pas, de quoi tu parles ?
Fantôme : Mon corps, celui qui m’a tué, il m’a caché ici ! Aide moi, il pourrait revenir, il les cachent tous ici !

J’étais en train de me demander qui était ce tous, lorsqu’ils apparurent. Une autre petite fille et un petit garçon, eux aussi devaient avoir mon âge. Je commençais réellement à avoir peur, j’aurais du écouter papa, qui disait qu’on ne devait pas avoir confiance en ces monstres. D’une voix que je voulais assurée, je dis :

Melisande : Je ne peux rien pour vous, vous allez tous disparaitre !
Fantôme : Tu dois nous aider ou tu le paieras toi aussi !
Connor : Melisande ? Mel chérie tu es là ?
Caleb : Mel, Mel si tu es là répond !
Nolan : Elle est peut être rentré à la maison ?
Caleb : Certainement pas ! Tout ça c’est de ta faute ! Tu devais juste la surveiller deux petites heures.
Nolan : Je faisais mes devoirs !
Caleb : Peut être mais…
Connor : Silence tout les deux ont doit retrouver votre petite sœur.
Melisande : Papa je suis là, Caleb, Nolan.

J’ai entendu des pas précipité et mon père et mes frères arrivèrent rapidement, mon père me souleva de terre et me prit dans ses bras. Caleb regarda fixement les fantômes, tous savaient ce qu’ils devaient faire.

Melisande : Papa, leurs corps sont là, il faut les aider à trouver la paix !
Connor : On va les aider. Caleb trouve les corps, toi et Nolan faites les disparaitre.
Caleb : Je peux m’en occuper seul !
Nolan : Alors débrouille-toi.
Connor : Faites le ensemble !

Depuis ce temps là, je n’ai plus jamais fait amie/amie avec les fantômes, ce sont des êtres dangereux qui sont prêt à tout pour obtenir ce qu’ils veulent. Même à vous faire du mal si il le faut. S’il faut se méfier des vivants, les morts sont pires. Les années ont passées et depuis ce jour, je me bats de tout pour mon corps et de toute mon âme pour faire disparaitre ces fantômes.

Je crois que mise à part ces histoires de fantômes, nous avions une vie normale en tout cas nous essayons, même si ils y étaient bien connu dans toute la ville que les enfants Pierce étaient très proche les uns des autres, nous avions tous notre propre personnalité, pas toujours facile à vivre d’ailleurs. Caleb lui était vu comme un garçon ayant un potentiel immense, bonne élève, mais qui pouvait être meilleur encore, coureur de jupon, bagarreur, tout le monde savait qu’il n’avait pas beaucoup de patience et qu’il était toujours prêt à défendre son frère et sa sœur. Quand à Nolan est bien il était aimer de tous, excellent élève, toujours prêt à rendre services aux autres, sociable, drôle, ouvert sur le monde, en faites à première vue il n’avait pas de défauts, même si tout le monde savait qu’il était prêt à en découdre en cas de problème, même si à ses yeux la violence ne représentait pas une solution. Et enfin moi, la petite dernière, une véritable petite princesse, je dois avouer avoir un côté un peu garce, et capricieuse, résultat d’une enfance entourée d’hommes toujours à mes petits soins. Si j’étais aussi bonne élève que mes frères, j’avais tout de même une certaine tendance à préférer m’amuser. Je sais que je suis belle et j’en profite, c’est peut être mal, mais il faut bien que je m’amuse aussi, je suis aussi impatiente que Caleb, et aussi sociable que Nolan. Un savant mélange de mes deux frères ce qui n’est pas forcement pour plaire à Caleb, qui me trouve parfois trop « sociable ».

Melisande : Tu sais que si mes frères arrivent, ils vont tout simplement te tuer !
Thomas : J’aime prendre des risques. Pas toi ?

Je souriais tandis que j’attirais mon dernier petit ami en date contre moi pour l’embrasser. Il était quater-back de l’équipe du lycée est plus vieux que moi. Le match était terminer et Thomas trouvait qu’il avait le droit à une petite récompense pour l’effort produit pendant le match. Il avait organisé une petite fête chez lui ou tout le monde avait été convié et pendant que tout le monde était en bas, nous nous étions éclipser dans sa chambre. J’étais installer à califourchon sur lui et lui retirait son t-shirt, je ne disposais déjà plus du mien. Cela faisait un petit moment que j’étais hors de porter du radar de Caleb et je l’imaginais déjà en train de claquer son bracelet sur son bras en me cherchant pour essayer de dissoudre la colère qui montait en lui. Il était même possible qu’il accuse Nolan d’être un mauvais frère car il ignorait où je me trouvais. La porte s’ouvrit à la volée, je n’eu pas besoin de me retourner je savais de qui il s’agissait :

Caleb : Toi t’est mort ! Mel habille toi tout de suite !
Thomas : Moi je l’a trouve trop habiller vieux, si tu vois ce que je veux dire !
Caleb : C’est de ma petite sœur dont tu parles là, connard !
Thomas : Arrête, y a pas mal de gens qui pensent que si t’es jaloux c’est parce que… enfin, tu vois quoi tu y as le droit toi aussi non ?
Melisande : Fils de pute.

Je lui mis une baffe et me leva, je le désignai à Caleb qui sourit, par contre Thomas perdit son sourire. Si il était fort, il était connu de tous que Caleb ne perdait que rarement les combats qu’il entreprenait. Je regardai à peine mon frère assénait le premier coup de poing, je remettais mon t-shirt et réorganisa mes cheveux. Le combat n’avait pas était très long, Caleb me fit signe de le suivre et c’est ce que je fis, je me tournai vers mon « ex petit ami » et lui envoya un baiser.

Je savais que Caleb voudrait à un moment ou à un autre me faire un sermon, sur ce qui c’était passer dans cette chambre, il le faisait toujours je me disais parfois qu’on devrait s’enregistrer et mettre la cassette en route ça m’éviterai de perdre du temps. Mais quelques que choses me disait que Caleb ne serait pas d’accord. Il n’eu pas le temps de commencer cette conversation que Thomas se jeta sur lui et la bagarre recommença de plus belle en plein milieu du salon ou les invités c’était reculer pour leur laisser plus de place et surtout pour éviter de prendre un coup dans la bagarre. Mais il y eu un hic, voyant le quater-back en difficultés certains de ces co-équipiers décidèrent d’aller lui prêter main forte et la ce n’était plus équitable. Et lorsqu’on s’en prend à un Pierce on s’en prend à toute la famille et je ne comptais pas laisser ces idiots s’en prendre à mon frère sans réagir, j’attrapai un vase que je brisai sur la tête du joueur le plus proche de moi, je fis une mou réjouit en voyant le jeune homme s’effondrait. Nolan se joint à nous et s’exclama :

Nolan : C’est bon les gars on se calme !

Pour toute réponse il reçut un crochet dans l’estomac, il souffla peu réjouit de ce qui aller se passer, mais il n’avait pas le choix lui aussi se mit à se battre, même si il ignorait la raison de cette bagarre qui dévia tout simplement en bagarre générale.

Une dizaine de minutes plus tard, nous nous sommes retrouver tous les trois dans la voiture, direction la maison. Caleb conduisait, Nolan était à ses côtés tandis que j’étais à l’arrière. Le silence régna, quand je finis par dire :

Melisande : C’était sympa comme soirée non ?
Nolan : Sympa ?!? Mel, t’a peut être pas remarqué, mais ça à finit en bagarre et je ne sais même pas pourquoi. Qu’est ce que tu as fait à ce mec Caleb ?
Caleb : Moi rien, demande à ta petite sœur.
Melisande : J’ai rien fait, t’es arrivé trop vite !
Caleb : Tu oublies de préciser que tu étais à moitié nu quand je suis rentré dans la chambre !
Nolan : Quoi ?
Melisande : Faux, il ne me manquait que mon t-shirt !
Nolan : Que ton t-shirt, c’est déjà pas mal non ?
Melisande : C’est drôle vous deux, parfois vous vous disputer comme des chiffonniers pour mes petits amis et là vous êtes d’accord ! Vous êtes malade ?
Caleb : Ce mec est un connard !
Nolan : Je suis d’accord.
Melisande : Les mecs je ne suis plus vierge !
Nolan : Pitié
Caleb : La ferme !

Et d’un seul coup nous nous sommes mit à rire, c’était un de nos rares moment, où nous étions en accord, où nous avions l’air d’être tous unies. Mais le ton devint vite plus sérieux quand Nolan ajouta :

Nolan : T’aurais peut être pas du le frapper non plus !
Caleb : Quoi, mais tu n’as pas attendu ce que mec à dit !
Nolan : Non, parce que moi je n’espionne pas tout le temps Mel.
Melisande : Et bin voila, ils recommencent !
Caleb : Je ne l’espionne pas, je la protège. Et je croyais que tu étais d’accord sur le fait que ce mec est un connard !?
Nolan : Je suis d’accord, mais je suis certain que Mel n’aurait pas été jusqu’au bout avec cet abruti, j’ai confiance en elle.
Melisande : Ah si si j’aurai était jusqu’au bout.
Nolan : Mel, mais ce mec …
Melisande : Est un abruti j’ai compris, merci.
Caleb : J’ai bien fait d’intervenir !
Nolan : Elle doit faire ses propres erreurs.

La dispute à continuer comme ça, jusqu'à ce que nous arrivions devant la maison. Pour papa aucun de nous ne dirait la vérité sur ce qui c’était passer ce soir là. Nous inventerons un mensonge et nous nous y tiendront, comme à chaque fois.

Il y avait toujours eu des tensions entre Caleb et Nolan, leurs sujets de disputes étaient souvent les mêmes, moi, les fantômes, les bagarres et la mort de maman. Mais un beau jour tout à changer le jour des 21 ans de Nolan, il a décidé de partir, faisant rompre la promesse de papa d’être toujours unis et causant une nouvelle fois la colère de Caleb. Le départ de Nolan à briser le cœur de papa, mais il l’a tout de même laissé partir, encore une fois j’avais l’impression qu’on m’arrachait un membre. Mais la décision de Nolan était irréversible et cette fois notre famille aller avoir du mal à s’en remettre. J’entrer sans frapper dans la chambre de Nolan :

Nolan : Tu pourrais frapper !
Melisande : Reste !
Nolan : Mel s’il te plait ne commence pas. Je dois partir.
Melisande : Ecoute si tu en a un peu marre de la chasse aux fantômes et de tes disputes avec Caleb, pars une semaine faire du camping, va je sais pas moi faire un séjour à Las Vegas.
Nolan : Les fantômes n’existent pas ! Et partir une semaine ne changera rien. Je dois vivre ma propre vie.
Melisande : Les fantômes existent, je le sais, tu le sais, Caleb le sais et papa le sais. Et ta vie est auprès de nous.
Nolan : Toute cette histoire de fantômes c’est de la folie ! On doit oublier tous ça, on doit oublier qu’on les voit. Un jour ça nous tuera Mel, je reviendrais quand chacun d’entre vous en aura prit conscience.
Melisande : Alors tu ne reviendras jamais et on le sait tout les deux. Tu vas briser le cœur de papa.
Nolan : Ne me mets pas tous ça sur le dos !
Melisande : Et toi ne me crie pas dessus ! Tu restes un point c’est tout, la famille c’est ce qui compte le plus !
Nolan : Tu lui ressemble quand tu es comme ça.
Melisande : De qui tu parles ?
Nolan : De Caleb, il veut toujours décider pour moi et pour toi aussi. Il faut faire ce qu’il lui semble le mieux et quand il en a envie et si on ne joue pas selon ses règles il pique une crise de colère !
Melisande : Arrête il a toujours étais la pour nous.
Nolan : Il a toujours était la pour toi, moi il me déteste.
Melisande : C’est faux, il t’adore tu es son p’tit frère.
Nolan : Arrête il l’a dit lui-même, je suis responsable de la mort de maman.
Melisande : Il a dit ça sous l’effet de la colère.
Nolan : Je suis certain qu’il le pensait !

Nolan remplissait son sac de vêtement que je vidai au fur et à mesure, il me regarda avec un air désapprobateur et mit toutes ses affaires le plus rapidement dans son sac qu’il mit à l’épaule avant de descendre les escaliers. Notre père se trouvait au salon, Nolan le regarda, je crois que je n’oublierai jamais le regard qu’ils ont échangé. Puis Nolan c’est diriger vers la sortie j’étais toujours sur ses talons pas prête à lâcher le morceau.

Melisande : Tu penses à moi un instant, j’ai besoin de toute ma famille.
Nolan : Viens avec moi !
Melisande : Pour abandonner papa et Caleb pas question !
Nolan : Tu penses que je vous abandonne ?
Caleb : Elle ne le pense pas, elle en a la certitude comme nous tous.
Nolan : Arrête Caleb, tu es content non ?
Caleb : Tu veux une réponse sincère ?
Nolan : Ne joue pas à ce jeu là avec moi, tu peux faire ça avec les autres moi je m’en fou !
Melisande : Vous ne pouvez pas arrêter de vous disputer juste une minute ! Caleb veut autant que moi que tu restes. N’est ce pas Caleb ?

Caleb ne répondit pas, Nolan secoua la tête, embrassa sa sœur sur le front et monta dans sa voiture sans même un regard pour son frère. Il était parti et Caleb n’avait pas l’air de bonne humeur, en faites en ce moment il avait rarement l’air de bonne humeur.

Caleb : A partir de maintenant, tu ne lui adresse plus la parole, c’est un traitre ce n’est plus ton frère !
Melisande : Alors là tu rêves, vieux !
Caleb : C’est un ordre Melisande.

Pour toute réponse je retirai ma chaussure droite que je lui balançai dans la figure. Caleb savait que je n’étais pas prête à obéir à cet ordre là.

Melisande : Rend moi ma chaussure, maintenant !

Caleb secoua la tête, il pouvait gagner de nombreux combats, massacrer son p’tit frère, lutter contre des fantômes, tenir compte à n’importe qui sauf à sa petite sœur lorsqu’il était question de sa garde robe. Il ramassa la chaussure qu’il lui rendit, elle l’a chaussa et rentra dans la maison et referma la porte de la maison, laissant son frère dehors, ultime signe de son désaccord avec lui.

Notre famille où tout du moins ce qu’il en restait ce devait de se montrait uni. A mes yeux il ne pouvait rien arriver de pire, mais le futur me prouva que j’avais tord. Un an après le départ de Nolan, papa a eu un accident en chassant. Un accident qui lui a coutait la vie. Maman croyait follement en Dieu, elle disait toujours qu’il était bon et qu’il avait toujours une bonne raison de faire les choses. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai grandit avec papa qui était un athée pure et dure, mais à mes yeux Dieu n’existe pas et si il existe il ne peut être que cruauté. C’est vrai il m’a enlevé ma mère à l’âge de 3 ans et mon père à peine 17 ans plus tard, alors niveau bonté j’ai vu mieux. Je me souviens de l’enterrement et de la dispute entre Nolan et Caleb, ce dernier reprochant cette fois la mort de leur père au plus jeune garçon Pierce. Puis Caleb était parti dans un bar avec une de ces ex petites amies. Nolan avait joué bonne figure et une fois les voisins et amis partis, il me regarda avec un pauvre sourire :

Nolan : Tu es du même avis que Caleb ?
Melisande : A quel sujet ?
Nolan : Sur la mort de papa ?
Melisande : Non, tu n’es pas responsable, aucun de nous ne l’est.
Nolan : Si papa n’avait pas eu cette folie avec les fantômes.

De rage je jetai par terre l’assiette que je tenais entre les mains, mon visage n’inspirait plus la tristesse, mais la colère, la frustration, j’avais gardé mes sentiments enfoui trop longtemps.

Melisande : Stop ! Tais-toi, je n’en peux plus ! Comment peux-tu ? Comment oses-tu seulement dire ça ? Toi aussi tu les vois, tu sais qu’ils sont réels, papa voulait juste protéger la ville, protéger les innocents ! Et toi tu appelles ça de la folie, moi j’appelle ça du courage et de la force !
Nolan : Et protéger sa famille alors ? Hein ça n’avait pas d’importance ça peut être.
Melisande : Nous sommes toujours vivant Nolan, toi, Caleb et moi allons bien, alors que lui ne passera plus jamais cette porte, lui ne viendra plus jamais me voir et me demander si je compte tomber amoureuse un jour au lieu de briser le cœur de tous ces garçons, lui n’essayera plus jamais de convaincre Caleb de faire la paix avec toi !
Nolan : Mel ne te mets pas dans cette état je suis… je suis désolé.
Melisande : Je ne veux pas de tes excuses, je veux que tu restes avec moi et avec Caleb, comme papa le voulait.
Nolan : Je ne peux pas, je suis désolé.
Melisande : Tu n’es qu’un égoïste.
Nolan : C’est toi l’égoïste ! Si tu veux que je revienne ce n’est pas pour que je puisse faire la paix avec Caleb ! C’est uniquement pour que tu puisses nous utiliser tout les deux comme tu l’as toujours fait pour obtenir ce que tu veux !

Ces paroles m’ont rendu furieuse, je me suis diriger à grand pas vers lui et je lui mis une gifle en plein vidage. Jamais je n’aurai cru être blesser autant par Nolan. D’un ton froid j’ajoutai :

Melisande : Toute ma vie, je n’ai eu que toi, papa et Caleb, tu te souviens parfaitement du visage de maman ? Parce que moi non, la photo du portefeuille de papa est le seule souvenir que j’ai d’elle, ça et son collier. Je ne me souviens plus de sa voix, de son rire ou de son parfum. Pourtant j’essaye, mais je n’y arrive pas, alors je me suis rattacher à vous trois, vous étiez mon univers et aujourd’hui il s’effondre ! Alors peut être que je suis égoïste de vouloir vous garder auprès de moi, mais je l’assume et jamais je n’abandonnerai ou trahirai un de mes frères, tu peux en dire autant Nolan ?

J’avais fondu en larmes, mon frère me prit dans ses bras et m’amena jusqu’au canapé. J’ai pleurée pendant des heures ou il me berçait silencieusement, épuiser j’ai finit par m’endormir. A mon réveil, Nolan n’était plus là, il m’avait laissée un mot s’excusant et promettant d’être toujours la pour moi. Il me conseillait également de vivre ma propre vie, loin des fantômes et des horreurs, c’était à ses yeux le seul moyen d’avoir une belle et longue vie.

Les années se sont succéder, trois en tout. Trois ans où Caleb et moi sommes restés unis, à chasser les fantômes. L'un était tout simplement la vie de l'autre. Mais nous aurions du nous douter l'un comme l'autre que notre duo ne pourrait être éternel. Papa voulait savoir quand je serai amoureuse et bien c'était maintenant. Ma rencontre avec Lucan changea ma vie et celle de Caleb par la même occasion.

Bien sûr, ils nous arrivaient à l'un comme à l'autre d'avoir des liaisons, mais cela ne représentait rien ou en tout cas pas grand chose. J'avais du tomber amoureuse deux ou trois fois dans ma vie, mais je les ai laisser tomber à chaque fois. Ils ont essayer de me reconquérir à chaque fois et à chaque fois, ils ont fini sous les coups de Caleb. Il me trouvait folle en amour, sachant pertinemment que je finissais toujours par quitter l'élu de mon cœur. Et cette fois ci je savais que se serait difficile de le persuader que cette fois je savais que c'était différent.

Caleb : Mel, est ce que tu veux venir me voir ?
Melisande : J’ai rendez vous avec Lucan, qu’est ce que tu veux ?
Caleb : Savoir pourquoi il connait la vérité sur nos activités.
Melisande : Comment tu sais ?
Caleb : Tu poses encore ce genre de question, tu me connais petite sœur, j’ai toujours un œil sur toi ! Alors bien que nous n’ayons pas fait un pacte de silence il me semblait relativement clair que personne, absolument personne, ne devait savoir ce petit secret de famille.
Melisande : Je lui fais confiance, je te demande d’avoir confiance en moi, il ne va pas nous trahir ou je ne sais quoi !
Caleb : Il ne peut pas te comprendre, il ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie pour toi, pour moi ou pour notre famille. Mais qu’est ce que tu imagines Mel, hein, que tout ira bien dans le meilleur des mondes et qu’il comprendra qu’il t’arrive de te rendre dans des cimetières pour bruler des restes humains ?
Melisande : D'accord peut être qu'il ne peut pas comprendre. Mais au moins il essaye, tu crois que si il n'avait pas été différent des autres je lui aurait dit la vérité ! Je ne suis pas une idiote, j'ai le droit de vivre ma vie !
Caleb : La seule chose qui m'intéresse c'est prendre soin de toi et je suis là seul et unique personne qui est capable de le faire correctement depuis que papa n'est plus là !

Je comprenais les doutes, les peurs et les sentiments de Caleb, même sa colère, mais il ne pouvait pas me parler sur ce ton, en tout cas pas sans que je réagisse. Je savais qu'il voulais juste me proteger, mais maintenant j'étais une grande fille et il aller devoir le comprendre qu'il le veuille ou non.

Melisande : Je peux prendre soin de moi toute seule Caleb ! Je suis une grande fille, tu veux que je reste pour ne pas être seul !
Caleb : J'ai l'impression d'entendre Nolan ! Ne deviens pas comme lui où bientôt la seule chose qui aura de l'importance pour toi sera ta propre vie et pas ta famille !

Ces paroles m'avait rendu furieuse, il était colérique, mais je pouvais parfois être pire que lui. Je le gifla violemment et sans éprouver le moindre remord. Je vis à ses yeux qu'il ne s'attendait pas à une telle réaction et pourtant il me connaissait mieux que personne et savait aussi qu'il le méritait.

Melisande : Je ne suis pas Nolan, mais je ne suis pas toi non plus Caleb ! Je ne vais pas tout abandonner, je chasserai toujours, je veux... je veux juste avoir une chance de connaitre le bonheur, papa l'aurait voulu.
Caleb : Connaitre le bonheur ? Ta famille, moi, cela ne te suffit pas ? Alors pardon, je suis franchement désolé de ne pas être à la hauteur et de ne pas faire ton bonheur !
Melisande : Tu es mon frère et si tu pouvais faire totalement mon bonheur, je trouverai ça pervers et beurk, vraiment beurk ! Un jour on sera trop vieux pour chasser les fantômes et on sera quoi, rien que tout les deux. Si tu veux être un célibataire endurcie c'est ton problème ! Rends toi compte d'une chose Caleb, un jour je n'aurai plus les mêmes besoins que toi !

Je vis Caleb baissait sa tête sur sa poitrine, j'étais certaines que si mes organes reproducteurs étaient extérieur, il m'aurait mis son point dans la figure. Il n'aimait pas ma façon de détourner le sujet et allait me le faire comprendre.

Caleb : Arrête ! Tu sais très bien ce que je veux dire. En ce qui concerne mon célibat, sache que j’ai un carnet d’adresse plein de fille plus belle et sexy les unes que les autres. Je… Nous avons le temps avant de devenir vieux toi et moi, tu ne crois pas ?
Melisande : Tu crois que mon carnet d'adresse est moins bien rempli que le tien ? Si c'est le cas tu es un idiot mon frère. Tu ne t'es jamais dit qu'un jour je voudrais avoir des enfants ? Arrête de croire que notre vie ne sera faite que de chasse excitante, d'histoires sans lendemain et de bières à volontés. On doit penser à notre avenir, notre vie sociale ? T'en a encore une ? Et ne me parle pas de ton stupide carnet ! T'as eu des nouvelles de Nora ? Elle était là à la mort de papa. C'est une chic fille.
Caleb : Donne le moi ce fameux carnet d’adresse, je crois que je vais avoir beaucoup de boulot ! Je sais que tu es une fille… que tu serais certainement une aussi bonne mère que ce que maman était avec nous.

Le compliment de Caleb me touchait vraiment, même si je n'étais pas certaine d'être à la hauteur de ce que maman avait put faire. Mais il me prouvait encore que nos besoin aller finir tôt ou tard par être bien différent.

Caleb : Nora ? Elle est aussi dans mon carnet, à la lettre N !
Melisande : Et toi tu est dans le mien à la lettre I comme Idiot ! Et mon carnet tu ne l'aura jamais. Ensuite je connais le tien certainement mieux que toi, je te signale qu'une de mes amies ne m'a plus jamais adresser la parole après être sortie avec toi ! Qu'est ce que tu attends de moi Caleb ?
Caleb : Donne moi ce carnet bon sang ! En ce qui concerne Linda, je préfère autant que tu ne fréquentes pas ce genre de fille ! Je... Papa voudrait ton bonheur et maman aussi, Nolan ne souhaite que le sien en parfait égoïste et moi... Moi je veux que tu ailles bien, que tu sois en sécurité et également ton bonheur... Mais je sais que tu ne trouveras pas le bonheur avec cet imbécile !
Melisande : Non, en faites je viens de comprendre quelques choses Caleb, toi et Nolan vous vous ressemblait tellement parfois. Au revoir Caleb, j'ai besoin de temps pour moi, pour savoir si je veux être avec cette imbécile ou rester cloitrer avec mon idiot de frère.

Cette fois ma décision était prise, je ne pouvais pas de toute façon passer le reste de ma vie à suivre Caleb dans d'interminables chasse aux fantômes, sans réel avenir. J'avais le cœur brisé, mais il le fallait pour moi et aussi pour papa qui voulait tant me voir amoureuse et heureuse comme maman et lui l'avait était. Et j'étais certaines que j'allais être heureuse avec Lucan et ceux peut importe ce que peut en penser Caleb.

Partir loin de Caleb n'était peut être pas la meilleure idée du monde. Il a eu raison j'ai finit par quitter Lucan. La raison ? Il voulait prendre un appartement et moi j'ai paniquer je n'était pas prête à prendre un tournant aussi important dans ma vie, alors je suis partie. J'ai repris ma vie de chasseuse, à une exception je suis solitaire. Bien sût il m'arrive de croiser Caleb sur certaines affaires et je suis persuader, en tout cas j'ai l'intuition qu'il me suis.

Cela fait environ trois semaines que je suis arriver à Chester, j'ai entendu des histoires bizarres et il y au deux morts étrange dernièrement. Alors me voila à nouveau à chasser les fantômes. Et quelques choses me dit que me dit que Chester me réserve bien des surprises...