“ La vengeance est un plat dont on se ressert deux fois. ”

001. PRÉNOM(S) Jeremy Quincy, ses intimes l’appellent régulièrement Quin', un paradoxe ironique lorsque l'on sait que c'est aussi le prénom de son ainée. Ҩ 002. NOM(S) Reynolds. Ҩ 003. ÂGE 22 hivers, bien qu'il se comporte parfois comme s'il en avait 10 de moins. Ҩ 004. NATIONALITÉ Américaine. Ҩ 005. DATE DE NAISSANCE Le cinquième jour, du onzième mois, un soir de pluie battante. Ҩ 006. LIEU DE NAISSANCE Chester, il n'a jamais quitté la ville. Ҩ 007. EMPLOI Agent de sécurité. Ҩ 008. STATUT SOCIAL Célibataire convoité, cœur conquit. Ҩ 009. GROUPE CURSED. Ҩ 010. CÉLÉBRITÉ C. Gigandet

Fumeur invétéré, il enchaine cigarette après cigarette. Ne pas en avoir le met le rend aussi agressif qu'un chien fou Ҩ Passionné d'arts martiaux et de combat en tout genre, il entretient son physique avec une attention particulière, y consacrant plusieurs heures par semaine Ҩ Il se prouve d'un éternel esprit contradictoire, il dira l'inverse de ce qu'il pense rien que vous ennuyer. Ҩ C'est un grand chambreur, d'une personnalité taquine, il adore se moquer, se montrant parfois horriblement blessant. Ҩ Il ne supporte pas être assit à l'arrière d'une voiture, il irait jusqu'à se battre pour avoir la place du passager. Ҩ Il est plein de principe, qu'il masque derrière une insouciance superficielle. Ҩ Il a un tatouage sur le biceps droit, un autre sur l'aine. Ҩ Il ne supporte pas de perdre ! Il cherche à être le meilleur, partout. Aussi, il n'existe pas de défi qu'il ne relève pas Ҩ Contrairement à ce qu'il connote, il n'est pas un coureur de jupon. Ҩ S'il adore la vitesse, l'altitude le tétanise, ne tentez pas l'emmener dans un manège à sensation.

001. PRÉNOM Je me cache (aa) Ҩ 002. PSEUDO Pépito ♫ Ҩ 003. ÂGE 19 ans. b>Ҩ 004. PAYS FRANCE Ҩ 005. PRÉSENCE 5/7j, bien qu'il n'y ait rien d'immuable Ҩ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR Top-site. Ҩ 007. CE QUE J'EN PENSE Irréprochable graphiquement, le contexte est certes risqué, mais il m'a fait fondre. Ҩ 008. RÉSERVATION AVATAR AFFIRMATIF Ҩ 009. CODE Song of death Ҩ 010. CRÉDITS tumblr. Ҩ 011. DERNIER MOT Il me tarde de commencer

the time of my life

« Quin’ ? Il est à peine reconnaissable. Depuis la mort de son père, je n’arrive plus à le joindre, il n’est jamais chez lui et mes visites au gymnase sont vaines. A croire qu’il a rejoint les fantômes légendaires de Chester. Pour tout avouer, la dernière fois que je l’ai vu, c’était à l’enterrement de Kurt, et il ne m’a pas décroché une palabre, pas un unique regard. Il s’est échappé, lui qui a toujours fait front. Sa famille se consume, rongée par les flammes du deuil. Il a toujours considéré les siens comme sa raison de vivre, leur vouant un amour qui crèverait les yeux à un aveugle, mais l’admiration qu’incarnait son père, était au delà. Leur relation était forte et leur complicité stupéfiante, sa perte semble néanmoins avoir éteint sa volonté ardente. Jamais, il n’aurait permis à sa mère de se faire du mal tel qu’aujourd’hui, jamais il n’aurait laissé sa cadette porter tous ces supplices sur ses épaules bien trop frêles. Il fait entorse à son honneur depuis que son géniteur n’est plus à ses flancs, et il ne se rend pas compte qu’il insulte sa mémoire en se comportant de la sorte.
A l’heure actuelle, j’ai peur pour lui. Ce garçon semblait indéboulonnable, et il s’est effondré comme un géant de papier. Il lui faudrait un électrochoc, en espérant qu’il n’attendra pas celui du décès de sa mère.»

Ian Shiva, ami d'enfance de Jeremy.

« Jeremy, mon fils. Tu es encore trop jeune pour comprendre la portée des mots que je dresse sur cette lettre, pour saisir que je couche avec ce stylo, la plus pure des sincérités, pour le plus véridique des amours. 4 ans désormais que tu as poussé ton premier cri, couvrant la le vacarme assourdissant de la pluie sur les larges vitres de la clinique. Déjà, tu affirmais ton caractère, tenace, pugnace, véhément. Lorsque l’infirmière m’a annoncé que j’étais désormais père d’un petit garçon, mes prunelles se sont écarquillées en une lueur enchantée. J’ai prit acte devant Dieu de faire de toi un homme droit et fier, fidèle à ses principes et empreint d’un avenir bilieux. Oui, tu n’as que 4 ans, mais tu deviendras un homme bien, un grand homme. Tu seras l’homme que je n’ai jamais été, je te ferais meilleur que je ne le suis et tu veilleras sur ta mère, sur tes sœurs lorsque je ne serais plus là. N’oublis jamais qu’elles sont les femmes de ta vie. Si l’une d’entre-elle te demande de te jeter dans les flammes, fais le, car derrière, tu y trouveras le bonheur.
Tu n’as vu défiler que 4 hivers, 4 hivers de souvenirs qui m’accompagneront en enfer. Du jour où tu as involontairement fait flamber le vieux chêne du voisin, à celui où tu es parvenu à aller secourir le chat de la mamie d’en face. Tu ne liras probablement jamais cette lettre, je l’écris simplement afin de chasser les cauchemars qui font des mes nuits une lente agonie. Car dans mes tourments, tu es ma seule lueur d’espoir, l’étendard de mon souvenir, l’égérie de ce que je suis. »

Kurt Reynolds, Médecin, père de Jeremy. Décédé.

« Ce gamin est entachée d’une volonté inébranlable. Je n’ai jamais trouvé plus borné que lui. Je le connais depuis qu’il a environ 7 ans, le jour où il a poussé la porte du gymnase en compagnie de son père. Du haut de ses 7 grammes, et 12 centimètres, il m’a affirmé qu’il voulait apprendre à se battre. Je me souviens de sa réponse lorsque je lui avais déclaré que ce n’était pas aussi simple : « Comment pourrai-je défendre les miens si je ne sais pas me battre ? ». Il m’avait convaincu en une phrase. Il y a 7 ans aujourd’hui qu’il vient s’entrainer chaque soir de semaine, au détriment de ses études. Il n’est pas très bon à l’école, et je sais que ses parents ne voient pas d’un très bon œil ses entrainements à répétitions. Mais, il est irraisonnable d’espérer le lui faire comprendre. Sa force de caractère en fait un combattant surprenant. Il est passionné, il vit ce qu’il fait à fond. Certainement pour ça qu’il a le potentiel pour devenir un champion. Du talent et du travail, pour un entraineur, c’est un phénomène extraordinaire. En 20 ans de carrière, il doit être le deuxième qui m’éberlue avec tant de poigne. Croyez-le ou non, si vous refusez de donner une chance à bambin, vous vous en mordrez les doigts, car dans 10 ans, il n’existera pas âme sur terre apte à lui disputer quoi que ce soit. Il ira chercher ses victoires avec les dents, parce que son esprit vous fera plus mal que ses poings. »

Eliott Douglas, gérant du gymnase de Chester en entraineur de Jeremy. Décédé.

« Il passait un peu pour le voyou de classe, avec son caractère franc et son regard d’acier. En réalité, il est aussi doux qu’un chiot. Je me souviens de ses ambitions, lorsqu’il avait dû se présenter en classe. Il affirmait qu’il passait son diplôme uniquement pour rendre son père fier, et que l’année prochaine, il s’envolerait avec son coach pour devenir un sportif professionnel. Malheureusement, il eut son diplôme, mais il ne parti jamais. Son entraineur succomba aux assauts d’un cancer, qu’il cachait avec brio. Ce fut une sérieuse désillusion pour lui, les semaines qui suivirent, il n’était qu’un zombie, ne venant en cours que par obligation. Il ne mettait plus les pieds au gymnase, et ne communiquait qu’en grognements inaudibles. La seule avec qui il semblait garder un semblant d’humanité, c’était Elena, mais ça n’étonnait plus personne depuis qu’il en était venu aux mains avec son copain. Elena et Jeremy, étaient des âmes sœurs, mais chacune de leurs tentatives se concluaient d’échec. Lorsqu’il apprit que son copain actuel la trompait, il le mit en pièce. Il n’a jamais avoué la véritable raison de son acte, Elena ignorant l’infidélité de son compagnon. Il était passé pour le salaud, le méchant, mais Elena n’avait pas souffert. Davantage que son copain, terrorisé par Quin’, mit un terme à leur relation les jours suivants.
C'était Quin', le prince charmant des temps modernes. Comme j'aurai aimé qu'on me protège comme il protège Elena.»

Marie Helton, ancienne camarade de classe de Jeremy.

« Il est un peu le héros malgré lui. Derrière ses muscles et son sourire narquois, il c’est un enfant au courage sans bornes qui se cache. Il se déguise par simple fait de paraitre sans peur et sans reproche, mais nous nous connaissons depuis toujours et je sais quelle personne exceptionnelle il est. Nous avons toujours tout partagés. Je ne saurais clairement dire quelle est notre relation. Nous avons essayés de l’améliorer. Nous étions amoureux à la maternelle, ensembles au collège, plus tard, un couple au lycée. Plein de fougue, de jeunesse et d’insouciance. Peut-être est-ce pour cela que nous échouions à chaque fois. Vous affirmer que je ne ressens plus rien pour lui serait vous mentir, comme il vous mentirait en affirmant l’inverse – et il le fera, soyez-en persuadé -. Mais on ne décide pas de tout. Je suis la seule à attester de son état. Il est agressif, hargneux, mauvais, comme si la mort de son père lui avait ôté toute la bienveillance qui le définissait autrefois. Il me fait confiance, mais il s’enfonce nuit après nuit dans les ténèbres. Il mangera bientôt à la table du diable, ou personne ne saura aller le chercher. Le héros qu’il est est mort. »

Elena Valente, amie d’enfance de Jeremy.