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 SOREN&AALIYAH - Je te cherchais.

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Aaliyah E. Ainsworth

Aaliyah E. Ainsworth





THE REAL ME
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Ҩ mon pseudo du web : B'choux
Ҩ mon avatar : LyndsyFonseca
- mon double compte : Nop.
- mes crédits © : Eternal Soulmate & Tumblr

Ҩ date d'apparition : 10/11/2011
- mes beaux messages : 69
- mon taux de présence : 7j/7

MY LIB FICTION
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SOREN&AALIYAH - Je te cherchais. Harpersidebar

Ҩ âge du personnage : 21ans
- à chester depuis : 1mois
Ҩ statut social : moyen
- statut amoureux : célibataire
Ҩ humeur : Sweet
- froid ou chaud : chaud
- rêve ou réel : rêve




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MessageSujet: SOREN&AALIYAH - Je te cherchais.   SOREN&AALIYAH - Je te cherchais. Icon_minitimeDim 13 Nov - 17:43

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Ce matin-là, il tombait des trombes d’eau sur Chester. Je m’étais réveillée en sursaut, comme si quelqu’un m’avait arraché de mon sommeil paisible. J’avais cette impression étranges au creu de mon estomac, cette boule qui se formait souvent ces derniers temps. J’entendais des respirations, des bruits de pas et voyais parfois même des silhouettes. Finalement je ne me posais plus trop de questions, j’étais en dehors de tout, atone. Je n’avais même plus l’envie de danser. Pourquoi ? Ca c’était bien un mystère.
Je me levais et m’approchais de la fenêtre qui donnait sur la rue. Les parapluies noirs défilaient. Chester était une petite ville sympathique avec une drôle de légende, m’avait-on dit. Mais je n’avais pas encore eu le loisir de l’entendre. Un mois que j’étais ici, mais j’étais restée enfermer dans mon petit appartement. Les nerfs en pelote. Certes j’adorais la pluie mais de là à aller me paumer dans ce trou perdu où il pleut 32 jours par mois, non ! Ce n’était pas pour la pluie que j’étais là, oh non, c’était pour mon frère que je n’avais pas vu depuis plus de deux ans. Noàus qui étions si soudés étant petits, nous nous étions perdus de vue si vite. Surtout après son coma et le suicide de sa femme. Je connaissais assez bien mon frère pour savoir qu’il n’aurait pas voulu que je sois toujours derrière lui pour lui demander « Caaa vaaa ? » Il aurait détesté. C’est pour ça que je l’ai laissé faire sa vie de loup solitaire pendant un certain temps. Enfin, un long moment. J’avais été tellement prise par mon rôle principal dans mon ballet, Patch et la mort de mon directeur adoré -poutoutou. Que je n’avais même pas fait attention que je n’avais pas eu un seul appel, pas un seul sms de mon frère adoré depuis si longtemps.
Jules avait tenté de me le faire savoir, mais j’avais été surmenée -surement pour ça que j’ai tout plaqué. J’allais finir par craquer un jour où l’autre.

Une douche et trois tasses de café plus tard, j’étais prête pour aller faire un saut en ville, même si l’envie m’en manquait. Mais de toute évidence je n’allais pas tenir encore une semaine avec pour seuls aliments dans mon frigo : deux carottes, une tomate et un yaourt nature. J’avais déjà épuisé mon stock de boites de conserves. Je devais faire des courses, impérativement !
N’ayant pas de voiture -seulement une moto, ce qui me convient très bien, entre nous - je m’habillais en conséquences. Une paire de botte de pluie rose clair, un leggins en laine gris, un léger pull rose bonbon également et mon imperméable gris pâle. J’étais fin prête pour marcher pendant dix minutes sous la pluie battante, faire mes courses en trente minutes, et trainer dix kilos de courses pendant donc environ trente minutes. Ce qui allait bien m’occuper la matinée.

Epuisée. Oui il faut croire que faire les courses ça épuise. Je venais de passer une heure trente dans le magasin -j’en avais profité pour m’acheter de nouveaux bouquins et quelques vêtements à bas prix. Mais à présent, je me demandais comment j’allais faire pour transporter mes six sacs de courses. J’étais sérieusement dans la panade. Je n’avais aucunes relations dans cette -donc aucun ami à appeler à la rescousse. Et visiblement il n’y avait pas un seul homme assez galant pour me proposer son aide. Super. Pourquoi étais-je venue dans cette satanée ville déjà ?! Ah oui, mon frère adoré. Il allait me le payer celui-là.

Finalement j’avais presque réussit à tout porter, bien qu’il faille que je fasse des pauses toutes les cinq minutes, ce qui me faisait avancer à une allure de limace. Moi qui avait pour habitude de marcher rapidement, j’étais comblée tiens ! De plus la pluie n’avait fait qu’augmenter, il pleuvait plus fort et en plus grosse quantité. Si bien qu’avec tous mes sacs je n’avais pu sortir mon parapluie. Comment l’aurais-je tenu ?! Par chance, j’avais une « capuche » sur mon imperméable -enfin peut qualifier de capuche un bout de tissus qui vous couvre seulement la moitié de la tête ? Hum !

J’étais à présent à mis chemin, les lanières d’un des sacs venaient de me lâcher -le plastique ça vaut rien. Et j’étais trempée jusqu’à la moelle. Je commençais à avoir mal au dos et je grelottais comme quelqu’un qui est entrain de mourir d’hypothermie, puis en plus, comme si ça ne suffisait pas, mes bottes en cahoutchouc avaient pris l’eau. Ce qui était censé être le plus imperméable, était gorgé d’eau. La guigne je vous dis. Heureusement j’avais trouvé un petit porche pour m’abriter le temps de calmer mes nerfs et de trouver une solution pour porter les quatre sacs et le cinquième sans lanières.

Une silouhette apparue, je me crispais, attendant que la boule dans mon estomac se forme. Mais rien ne se passa. Soudain j’eu envie de crier, oui, d’interpeller cette personne: « SOREN ! » Je savais, j’en étais certaine, c’était bien lui. J’aurai pu reconnaitre sa démarche parmi des millions. Mon frère était là.

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