“ il avait l'impression que sa vie entière était une espèce de rêve et il se demandait parfois qui était le rêveur et si ce qu'il imaginait lui plaisait. ”

001. PRÉNOM(S) pâris, jules. Ҩ 002. NOM(S) rhodes. Ҩ 003. ÂGE bloqué à jamais de le corps de ses vingt-quatre ans. Ҩ 004. NATIONALITÉ américain Ҩ 005. DATE DE NAISSANCE 1er avril de l'année mille neuf cent quatre-vingt. Ҩ 006. LIEU DE NAISSANCE chester. Ҩ 007. EMPLOI esprit vagabond. Ҩ 008. STATUT SOCIAL célibataire. Ҩ 009. GROUPE ghost. Ҩ 010. CÉLÉBRITÉ tom felton.

Lorsqu'il est stressé, en colère ou bien qu'il est sur le point prendre une décision importante, il part courir. Durant sa course, il remet toutes ses idées en place, c'est un moyen sûr pour lui de ne pas devenir fou. Ҩ La musique a toujours pris une grande place dans sa vie, il n'est pas rare de l'entendre fredonner des airs. Ҩ Enfant, il s'est gravement blessé à l'avant bras gauche, bien que la douleur à depuis bien longtemps disparu, il ne peut pas s'empêcher de toucher sa cicatrice lorsqu'il parle de son passé. Ҩ Il n'aime pas particulièrement parler, il n'adresse la parole aux autres que lorsque c'est nécessaire. Lorsqu'on lui pose une question, il préféra répondre par un hochement de tête, un regard, plutôt que par les mots. Ҩ Bien que peu bavard dans la vie, il en est tout autre chose sur le papier. Les paroles qu'il écrit son pour lui plus importantes que n'importe quelles phrases de la vie de tous les jours. Ҩ Il déteste les endroits clos, où il se sent comme prisonnier. Ҩ Bien qu'âgé de vingt-quatre ans, de son vivant il n'a eu que de rare relation avec les femmes. Deux en tout. Coucher pour coucher, non merci. Ҩ Le cinéma ne l'a jamais attiré, il n'a pratiquement regardé aucun film, sa culture cinématographique atteint facilement les zéro.

001. PRÉNOM Celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Ҩ 002. PSEUDO Reckless/Rozenn Ҩ 003. ÂGE Seize annéeҨ 004. PAYS France, mon beau pays de France Ҩ 005. PRÉSENCE 5/7j Ҩ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR Super Bazzart ! Ҩ 007. CE QUE J'EN PENSE J'ai complètement craqué sur le contexte, bien sombre et mystérieux comme je les aime. En plus je cherchais un fourm pour laisser une idée de personnage, tomber ici à était un vrai bonheur et parfait pour développer mon p'tit gars. Ҩ 008. RÉSERVATION AVATAR Yes. Ҩ 009. CODE song of death Ҩ 010. CRÉDITS tumblr. Ҩ 011. DERNIER MOT C'est l'histoire d'un pingouin qui à levé une jambe, il a trouvé ça marrant alors il a levé l'autre et... il est tombé. /ne me frappez pas.

the time of my life

PREMIER ACTE

underco.

DEUXIÈME ACTE

underco.

TROISIÈME ACTE

« Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j’ai gardé la forme et l’essence divine
De mes amours décomposés !
Baudelaire - Une charogne  »

Pluie, pluie. Elle ne s'arrête plus de tomber. Amusez à l'idée de se déverser sur les corps frêles de ses pauvres hommes, elle accélère le rythme. Même son oncle l'orage c'est pris au jeu. Il gronde, fait jaillir ses plus beaux éclairs. Théâtre céleste qui joue ses propres pièces complètement incompréhensibles aux yeux des mortels, beaucoup trop occupé à déchiffrer leur propre vie, ils ne prennent plus le temps de regarder vers le ciel. Les plus prévenants sont déjà chez eux, bien au chaud, sûrement avec une boisson bien chaude entre les mains. Sortir, ils n'y pensent même pas. Seul un fou s'y oserait. Justement, Pâris n'est qu'un fou. L'orage ne l'a pas arrêté, rien n'aurait pût l'arrêter à vrai dire. Ni la pluie battant, ni les coups de tonnerres. Une guerre aurait pût se déclarer, il serait tout de même aventurer dehors. Tout cela pour une femme. Sa dulcinée. Il l'a suivi aveuglement lorsqu'elle lui a demandé. Dès les premières gouttes tombée, elle est sortie de leur apparentement à tout vitesse, le sourire aux lèvres. Ce même sourire qui huit mois auparavant avait fait fondre le cœur de Pâris, lui le prétentieux, l'impétueux, il en rit encore aujourd'hui.
Elle est bien loin devant lui, malgré les flaques d'eau qui se mettent en travers de sa route, il la suit aveuglement. Il veut l'atteindre, la toucher, la ramener à la maison. Elle finira par le rendre dingue. Quelques mètres les séparent, Pâris accélèrent le pas. Il se met à courir, elle aussi. Plus rapide qu'elle, le jeune homme ne prend pas plus que quelques secondes pour la rattraper. Il la touche, elle se met à rire. Comme d'habitude elle rit bien trop fort, elle en est presque ridicule. Qu'importe. Même dans la nuit, Pâris peut voir ses magnifiques yeux pétiller de bonheur.

-- Tu crois que ces gouttes sont les larmes des anges ?

Elle a arrêter de rire, pour lui poser l'une des questions dont elle a le secret. Avec le temps, le jeune blond sait pertinemment qu'il n'a pas à lui répondre, elle ne veut pas qu'on lui réponde. Tout ce qu'elle attend c'est quelqu'un pour écouter les folles pensées qui peuvent se nicher dans les recoins de sa tête brune.

-- Et toi, tu ne crois pas qu'il est temps de rentrer ?

Devant la mine boudeuse qui est apparue sur son visage à la seconde même où il a posé la question, il se met à rire. Elle se vexe. Alors pour se faire pardonner, il la prend dans ses bras. Côte à côté, les deux corps mouillés ne font plus qu'un, comme une seule et même personne, ils respirent aux mêmes rythmes. Il sent les battements de son coeur se faire de plus en plus rapide. Et elle, sent-elle les siens ? Lavande et citron. Même trempée, son odeur reste inchangée. Une pneumonie, voilà ce qu'ils se risquent à attraper en restant dehors. Pourtant, maintenant qu'ils sont serrés l'un contre l'autre, plus rien ne peut les séparer. Elle lève la tête, le regarde dans droit dans les yeux, elle beau aborder une mine sérieuse, Pâris peut déceler l'amuser sur chaque centimètre de son visage. Leur visages se rapprochent doucement, pour finalement, finir par se toucher le bout des lèvres. Baisé timide, suivi par d'autres, bien plus courageux et aventureux. L'instant est magique. Pendant une minute, Pâris se met à imaginer sa vie s'il ne l'avait jamais connu. Sans elle, il n'est plus rien. Sentiment qu'elle n'approuve pas. Dès qu'il lance le sujet sur le tapis, elle se met à le regarder avec un regard froid qui ne lui convient pas le moins du monde. Elle lui répète qu'avant, lui était quelqu'un. Une personne a par entière. Sujet de dispute sans fin, Pâris se décida enfin au bout de quelques temps à lâcher la faire, à quoi bon expliquer à quelqu'un qu'on a l'impression que sa vie n'a commencé que le jour de lors rencontre, si la personne en question ne veut pas l'entendre ? Peu importe. Ne pas le dire, ne l'empêche pas de le penser.

-- Pâris... Je peux te poser une question ?

Le jeune homme regarde sa belle avec les yeux ronds. Brutalement, elle a mis fin à leur baisé, chose qu'il l'a bien entendu dérangé, mais ne l'a pourtant pas autant choqué que ; sa dulcinée lui demande si elle peut parler. Jamais elle ne demande quoique ce soit. Elle fait. S'occupe des conséquences après. Ce changement brutal de comportement, n'annonce rien de bon. Il en est sûr. Il la fixe se mordre la lève inférieure, chose qu'elle ne fait que lorsque la situation lui échappe. S'il ne tremblait pas déjà à cause du froid, il se serait mit à le faire en raison de l'inquiétude qui le submerge. Il hausse la tête, pour lui indiquer qu'elle peut prendre la parole et à peur d'avoir à regretter son geste.

-- Ça te dirai de m'épouser ?